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Le président américain Donald Trump et son envoyé pour les missions spéciales, Richard Grenell, ont annoncé la libération des six hommes sur les réseaux sociaux.
Six Américains détenus au Venezuela ces derniers mois ont été libérés par le gouvernement du président Nicolás Maduro après qu'il a rencontré vendredi un responsable de l'administration Trump chargé d'exhorter le dirigeant autoritaire à reprendre en charge les migrants expulsés qui ont commis des crimes aux États-Unis.
Le président américain Donald Trump et son envoyé pour les missions spéciales, Richard Grenell, ont annoncé la libération des six hommes sur les réseaux sociaux. La visite de M. Grenell a été un choc pour de nombreux Vénézuéliens qui espéraient que Donald Trump poursuivrait la campagne de «pression maximale» qu'il a menée contre le président Maduro pendant son premier mandat.
Le voyage de plusieurs heures de Richard Grenell au Venezuela, selon la Maison-Blanche, était axé sur les efforts de Donald Trump pour expulser les Vénézuéliens vers leur pays d'origine, qui ne les accepte actuellement pas, et sur la libération des Américains détenus.
«Nous sommes en route et rentrons chez nous avec ces six citoyens américains», a posté M Grenell sur X avec une photo le montrant avec les hommes à bord d'un avion. «Ils viennent de parler à @realDonaldTrump et ils n’ont pas pu s’empêcher de le remercier.»
Le président Trump a écrit samedi sur son site de médias sociaux Truth Social qu’il était heureux de voir les Américains de retour chez eux.
«Et il est très important de noter que le Venezuela a accepté de recevoir, de retour dans son pays, tous les immigrés illégaux vénézuéliens qui campaient aux États-Unis, y compris les membres du gang Tren de Aragua. Le Venezuela a en outre accepté de fournir le transport de retour», a-t-il écrit. «Nous sommes en train de retirer un nombre record d’immigrés illégaux de tous les pays, et tous les pays ont accepté d’accepter le retour de ces immigrés illégaux.»
Le bureau de presse du gouvernement vénézuélien a déclaré samedi qu’il ne ferait aucun commentaire officiel sur ces allégations pour l’instant. La réunion a eu lieu peu de temps après que M. Maduro a prêté serment après une élection controversée.