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Un mandat d'arrêt pancanadien a été lancé en fin de semaine. Selon le sergent Addison, l'homme de 58 ans pourrait toujours se trouver à Vancouver ou dans les environs.
La police de Vancouver affirme que le délinquant sexuel à haut risque Randall Hopley, qui est en cavale depuis samedi, était probablement inquiet d'une comparution imminente devant le tribunal et qu'il a pris des «mesures délibérées» pour l'éviter.
Selon le sergent Steve Addison, Hopley a déclaré à plusieurs personnes samedi, vers 15 h, qu'il quittait sa maison de transition pour aller dans une friperie tout près. Mais il a ensuite retiré son bracelet de surveillance électronique et il n'a plus été revu depuis.
Hopley, déclaré «délinquant de longue durée», a déjà été condamné pour voies de fait et crimes à caractère sexuel, dont trois contre des enfants.
Il a notamment été condamné à une peine de six ans de prison pour l'enlèvement, en 2011, d'un enfant de trois ans dans le sud-est de la Colombie-Britannique.
Le sergent Addison a souligné que Hopley avait été accusé plus tôt cette année d'avoir violé ses ordonnances de surveillance et qu'en attendant l'issue de cette affaire devant le tribunal, il devait séjourner dans une maison de transition, d'où il a pris la poudre d'escampette samedi.
Un mandat d'arrêt pancanadien a été lancé en fin de semaine. Selon le sergent Addison, l'homme de 58 ans pourrait toujours se trouver à Vancouver ou dans les environs.