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Les nouvelles sanctions visent six personnes et quatre entités, dont l'agence de presse Fars, qui serait affiliée au Corps des gardiens de la révolution islamique.
Le Canada impose de nouvelles sanctions à des responsables iraniens, en mettant l'accent sur les entités qu'Ottawa associe à la propagande et à la torture.
Les nouvelles sanctions visent six personnes et quatre entités, dont l'agence de presse Fars, qui serait affiliée au Corps des gardiens de la révolution islamique.
Nous avons sanctionné 6 personnes & 4 entités, qui figurent parmi les pires contrevenants ayant participé à des violations flagrantes des droits de la personne en Iran.
— Mélanie Joly (@melaniejoly) October 19, 2022
Le 🇨🇦 continuer d’appuyer les femmes, les jeunes & les citoyens courageux de l'Iran.
#MahsaAmini #مهسا_امینی pic.twitter.com/o9q5xLVLXf
Ottawa sanctionne aussi le Conseil des gardiens de la Constitution, qui bloque les candidats aux élections qui ne s'alignent pas sur l'idéologie du régime des mollahs.
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Parmi les entités interdites de faire des affaires avec le Canada figurent aussi l'Assemblée des experts, «une entité impliquée dans des violations flagrantes et systématiques des droits de la personne», et le Conseil de discernement de l'intérêt supérieur du régime, qui conseille le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei.
Le Canada inscrit également sur la liste un sous-ministre de l'Intérieur et un commandant du corps des Gardiens de la révolution islamique, en réaction aux violentes répressions contre les manifestants.
À ce jour, le Canada a imposé des sanctions à 89 Iraniens et à 177 entités iraniennes.
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