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Drummondville tente de trouver des alternatives au gazon sur les terrains lui appartenant et les espaces publics.
Dans certains cas, on a simplement procédé à un arrêt de tonte sur des parcelles ciblées et dans d'autres on fait pousser du trèfle, mais aussi du thym serpolet ou du millepertuis.
Vous pouvez observer le tout sur neuf terrains, notamment près de la piste cyclable au coin des rues Saint-Jean et Notre-Dame, en plus du parc Woodyatt et près des vestiges de La Poudrière le long du boulevard Saint-Joseph.
La Ville de Drummondville a pu observer, en quelques mois à peine, l'apparition d'une vingtaine d'espèces végétales, dont certaines fleurissent et ne donnent pas un aspect trop négligé.
Roger Leblanc, directeur du Service de l'environnement, parle d'économie d'entretien dans plusieurs cas.
«On veut réduire nos coûts d'entretien en termes d'opérations. On veut également faire de l'économie d'eau potable parce que les aménagements traditionnels exigent de l'arrosage assez fréquent. (...) puis finalement, comme on a un nouveau règlement sur le bannissement des pesticides, on veut offrir des alternatives aux citoyens», explique-t-il.
Il s'agit d'une des actions du Plan de conservation des milieux naturels adopté il y a 1 an.