Début du contenu principal.
Dans un souci de transparence, la Fonderie Horne ouvre un nouveau bureau permanent de relation communautaire dans le quartier Notre-Dame, à Rouyn-Noranda.
Situé sur la 7e rue, il se veut l’endroit où les citoyens obtiendront réponse à leurs questions et préoccupations, notamment quant au projet de réduction des émissions atmosphériques d’arsenic.
«C'est très gros. C'est une grosse industrie. Souvent, les gens vont se demander ce qu'il se passe à la Fonderie. Ce n'est pas facilement accessible. Tu arrives à la barrière principale et c'est un gardien de sécurité qui t'accueille. De vouloir parler à quelqu'un, ce n'est pas évident. En ayant le bureau ici, on vient éliminer toutes ces difficultés. On est sur la bonne voie», reconnaît Cindy Caouette, surintendante aux communications et relations avec la communauté à la Fonderie Horne.
«J'attendais depuis longtemps ce moment. Oui, les gens se questionnent et ils ont besoin de savoir. Le travail qui se fait à la Fonderie Horne est excessivement complexe et c'est sur une très longue durée. C'est important que les gens qui veulent savoir comment ça se passe aient un endroit pour venir chercher l'information. Ça va peut-être leur permettre de démystifier des aspects qui peuvent paraître douteux entre guillemets. Plus on va chercher de l'information, plus on comprend la mécanique et plus c'est rassurant», partage le conseiller du quartier, Réal Beauchamp.
Il vient donc remplacer le bureau temporaire inauguré en septembre dernier sur la 9e rue. Deux employés de la Fonderie Horne seront sur place, du lundi au vendredi.