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La CAQ est en tête des intentions votes (35%) avec 16 points d'avance sur le PCQ qui gagne tout de même en popularité auprès des électeurs.
La Coalition Avenir Québec obtient 35% des votes selon la plus récente enquête de la fondation sans but lucratif Institut Angus Reid (IAR) menant ainsi la course aux intentions de vote avec 16 points d’avance sur son plus proche rival, le Parti conservateur du Québec (19% des intentions de vote).
Le Parti libéral du Québec obtient à ce jour 18% des intentions de vote au Québec alors que Québec solidaire est à 14% et que le Parti Québécois ferme la marche avec 10% des intentions de vote.
Institut Angus Reid.
L’enquête de l’IAR met également en lumière le fait que les Québécois se disent très préoccupés par l’inflation et le coût de la vie, ainsi que par le système de santé.
En effet, trois répondants sur cinq ont identifié ces deux questions comme étant de la plus haute importance, bien avant l’enjeu ayant obtenu la troisième place : l’environnement et le changement climatique.
En revanche, seulement 5% de la population québécoise considère désormais que la réponse du gouvernement face à la COVID-19 est une priorité importante.
Institut Angus Reid
Au moins trois Québécois sur cinq sont d’avis que le gouvernement actuel ne fait pas un bon travail, lorsqu’il est question de s’occuper des cinq problèmes qui sont les plus importants dans la province soit l’inflation et le coût de la vie, la santé, l’environnement, les soins aux aînés et l’accès aux logements abordables.
L’étude de l’Institut Angus Reid dévoile également des points positifs pour le gouvernement de François Legault, dont le fait que la moitié des Québécois (52 %) félicitent le gouvernement pour sa gestion de l’économie.
Au pays, seule la Saskatchewan obtient un score plus élevé (53 %) sur le sujet.
Cela dit, la performance de la CAQ a chuté à 32% sur l’Indice de rendement des gouvernements de l’Institut Angus Reid. Elle était évaluée à 58% en 2019. Ce score représente la moyenne des habitants du Québec qui estiment que le gouvernement fait un «bon travail» sur 13 différents enjeux provinciaux.