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Malartic aimerait ajouter au moins 100 portes dans les prochaines années. Ça doit se faire relativement bientôt.
Malartic aimerait ajouter au moins 100 portes dans les prochaines années.
Et le chiffre est conservateur.
Il y a déjà une pénurie de logements et de main-d'oeuvre, alors pour régler un problème, il faut tout de suite s'attaquer à l'autre.
Des démarches se font avec des entrepreneurs et quelques projets sont soit en construction, soit dans les cartons.
Ça doit se faire relativement bientôt, alors que la mine, principal employeur en ville, va prendre de l'expansion.
C'est tout un défi, explique le maire Martin Ferron :
«Avoir 100 portes et dix blocs appartements, je ne suis même pas sûr que ça répondrait à la demande. Avec la mine Odyssey qui roulera à plein régime en 2025-2026, on parle de recruter 1 500 personnes. Celles qui ne viennent pas d'ici, on veut les loger à Malartic. On pense même à du bâti sur place pour les accueillir.»
Québec devra aider
Le maire de Malartic est cependant conscient qu'il ne pourra pas tout faire ça localement. Les moyens demeurent limités.
Martin Ferron aura besoin de l'aide des gouvernements :
« Je ne peux pas aller à la banque et demander 35M$ pour un nouveau quartier. On n'a pas la force économique des grosses villes.»
Malartic compte présentement près de 3 000 citoyens.