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La police signale que la distraction au volant prend plusieurs formes: l’utilisation d’un appareil électronique, le port d’écouteurs, la présence d’un objet ou d’un animal qui obstrue ou gêne la conduite ou des préoccupations externes.
Tous les services de police du Québec tiendront à compter de vendredi, jusqu’au 17 novembre, l’Opération nationale concertée (ONC) Distraction 2022 en collaboration avec les contrôleurs routiers de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ).
De nombreuses opérations policières chercheront ainsi à conscientiser les conducteurs aux dangers liés à la distraction au volant et à intervenir auprès des conducteurs distraits.
La police signale que la distraction au volant prend plusieurs formes: l’utilisation d’un appareil électronique, le port d’écouteurs, la présence d’un objet ou d’un animal qui obstrue ou gêne la conduite ou des préoccupations externes.
Les services de police ont observé que la distraction au volant est l’une des principales causes de collisions mortelles ou avec blessés graves au Québec. Elle réduit l’attention et la concentration du conducteur, augmente les possibilités d’être impliqué dans une collision et accroît aussi les risques de commettre d’autres infractions au Code de la sécurité routière.
Un conducteur distrait pourrait ne pas voir jusqu’à 50 % de l’information présente dans son environnement, selon la police.
Pour sa part, la SAAQ mène jusqu’au 4 décembre une campagne de sensibilisation axée sur la distraction cognitive.
La société d’État souhaite faire prendre conscience aux conducteurs qu’ils peuvent tous être touchés par la distraction au volant, car ses sources sont multiples, incluant la distraction cognitive. Celle-ci implique qu’une personne au volant ayant l’esprit ailleurs élimine de son cerveau des informations qui pourraient s’avérer essentielles à la conduite de son véhicule.