Début du contenu principal.
La Fédération prétend que dans les classes québécoises, un grand nombre d’élèves ont des besoins de toutes sortes qui nécessitent des attentions particulières de la part des enseignants.
Environ 50 membres de la Fédération des syndicats de l'enseignement, affiliée à la CSQ, se sont installés mardi matin au Parlement de Québec, près de l’entrée des députés, afin de les sensibiliser à l’importance de la recomposition des classes, l’un des dossiers faisant partie des négociations actuelles entre les organisations syndicales et le Conseil du trésor.
Les manifestants ont disposé près de l’entrée des pupitres d’écoliers pour reproduire l'aménagement d'une salle de classe.
La Fédération prétend que dans les classes québécoises, un grand nombre d’élèves ont des besoins de toutes sortes qui nécessitent des attentions particulières de la part des enseignants.
La présidente de la Fédération, Josée Scalabrini, affirme aussi que le gouvernement du Québec laisse tomber les enfants en difficulté dès la première année, dans la mesure où on ne leur offre pas les services dont ils ont besoin, à son avis.
La FSE ne revendique pas que la recomposition des classes. Elle aspire aussi à des allégements des tâches et à des ajustement de la taille des groupes.
La Fédération des syndicats de l’enseignement regroupe 34 syndicats d'enseignants.