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L'un des accusés présentait des signes d'engelures et a été transporté dans un hôpital local.
Des responsables américains affirment que des agents de la patrouille frontalière du Maine ont récemment accusé 13 ressortissants étrangers, sept adultes du Mexique et six du Vietnam d'être entrés illégalement aux États-Unis à partir de deux endroits dans l'ouest du Nouveau-Brunswick.
Le Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis a publié jeudi un communiqué indiquant que le trafic d'êtres humains le long de la frontière entre le Maine et le Nouveau-Brunswick n'est peut-être pas un problème aussi grave qu'ailleurs le long de la frontière américaine, mais cette «activité criminelle transnationale» est préoccupante.
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Le service des douanes affirme que les froides températures à cette période de l'année peuvent rapidement entraîner des conditions potentiellement mortelles.
Les responsables de la patrouille frontalière affirment que des migrants mexicains ont été arrêtés le 19 janvier après que des agents ont été alertés d'une éventuelle entrée illégale et ont ensuite repéré des empreintes de pas près de la ville de Caswell, dans le Maine, à l'ouest de Grand Falls, dans le nord-ouest du Nouveau-Brunswick.
L'un des accusés présentait des signes d'engelures et a été transporté dans un hôpital local.
Le 20 janvier, des agents de la patrouille frontalière basés à Calais, dans le Maine, ont intercepté un véhicule suspect à Lambert Lake, dans le même État, à l'ouest du passage frontalier de Sainte-Croix, dans le sud-ouest du Nouveau-Brunswick.
Six passagers vietnamiens adultes ont été accusés d'être entrés illégalement aux États-Unis et le conducteur du véhicule, un citoyen américain, a été arrêté pour soupçon de trafic d'êtres humains.
Dans les deux cas, les ressortissants étrangers ont chacun été condamnés à une amende de 5000 $ et ont fait l'objet d'une procédure d'expulsion des États-Unis.