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Les communautés des Premières Nations Kainai et Siksika ont déposé des lettres auprès de l'Agence d'évaluation d'impact du Canada dans lesquelles elles critiquent la façon dont Montem Resources décrit sa relation avec elles.
Deux communautés autochtones de l'Alberta affirment qu'une entreprise qui espère développer une mine de charbon dans les montagnes Rocheuses n'est pas tout à fait exacte dans sa description de sa relation avec les Premières Nations.
Les communautés des Premières Nations Kainai et Siksika ont déposé des lettres auprès de l'Agence d'évaluation d'impact du Canada dans lesquelles elles critiquent la façon dont Montem Resources décrit sa relation avec elles.
Dans les documents déposés auprès de l'agence d'évaluation, Montem soutient que la consultation avec les Autochtones est continue et régulière.
Or, ces communautés autochtones estiment que leurs relations avec Montem se sont «détériorées». Elles soutiennent que Montem, à l'origine du projet de Tent Mountain, a offert des fonds pour étudier l'impact de la mine proposée en échange de l'abandon par les Premières Nations de leur demande d'examen environnemental fédéral.
Ces communautés prétendent qu'elles n'ont pas eu de discussions sérieuses avec Montem depuis juillet dernier.
Le directeur de Montem, Peter Doyle, a déclaré dans un courriel qu'il reconnaissait les préoccupations des Autochtones et qu'il tenterait d'améliorer la situation.