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Cet engagement fait suite à une prévision antérieure de 200 millions $ US par année en dépenses d'investissement.
Bombardier cherche à augmenter ses dépenses en immobilisations pour augmenter la production à mesure que la demande augmente et que son plus grand rival cherche à accélérer ses livraisons.
Avant une journée des investisseurs jeudi matin, le constructeur d'avions d'affaires a indiqué qu'il établirait une «enveloppe d'allocation des capitaux récurrente et croissante pouvant atteindre 600 millions $ US annuellement» consacrée à des projets stratégiques ou à la réduction de la dette.
Cet engagement fait suite à une prévision antérieure de 200 millions $ US par année en dépenses d'investissement.
Cette annonce survient également alors que Bombardier continue de rembourser des centaines de millions de dollars de dettes, tout en essayant de suivre la cadence de son concurrent Gulfstream Aerospace, qui vise à augmenter les livraisons de 38 % à 170 avions privés entre 2022 et 2024.
L'entreprise montréalaise a devancé son concurrent américain avec 120 livraisons d'avions d'affaires l'an dernier, contre 119 pour Gulfstream, bien que ce dernier ait engrangé 680 millions $ US de plus en revenus.
Le chef de la direction de Bombardier, Éric Martel, a réitéré les prévisions de Bombardier de 7,5 milliards $ US de revenus annuels d'ici 2025 et de 135 livraisons d'avions d'affaires l'an prochain.
«Le concurrent dans notre secteur aimerait s'emparer de notre part de marché, et nous n'allons pas laisser cela se produire», a affirmé jeudi matin M. Martel depuis un hangar de Bombardier.