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Ces menaces avaient été évoquées par des témoins dans une poursuite au civil intentée en Cour supérieure par quatre machinistes qui travaillaient au Métropolis le soir où la cheffe du Parti québécois venait prononcer son discours de victoire.
Les avocats du gouvernement du Québec ont fourni lundi au tribunal des détails sur six menaces proférées contre Pauline Marois le jour des élections générales de 2012.
Ces menaces avaient été évoquées par des témoins dans une poursuite au civil intentée en Cour supérieure par quatre machinistes qui travaillaient au Métropolis le soir où la cheffe du Parti québécois venait prononcer son discours de victoire, le 4 septembre 2012.
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Un homme armé a abattu ce soir-là le technicien éclairagiste Denis Blanchette, à l'extérieur de la salle de spectacle, et blessé un deuxième technicien de scène, David Courage.
Les plaignants sont des collègues de travail des deux victimes. Ils poursuivent la Ville de Montréal et le procureur général du Québec pour plus de 600 000 $, alléguant que la police n'avait pas correctement sécurisé le lieu et évalué les risques associés à l'événement politique.
Les détails des menaces contre Mme Marois ont été fournis par la Sûreté du Québec après une recherche exhaustive ordonnée par le juge Philippe Bélanger dans la poursuite au civil.
Selon le juge, deux des six menaces contre l'ancienne première ministre ont été proférées sur les réseaux sociaux et deux autres impliquaient des jeunes de 14 ans.
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