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Amos promet de tout faire pour trouver une solution au manque de places en camp de jour.
Ces 95 précieux droits se sont envolés rapidement dès l'ouverture des inscriptions, ce qui a laissé des parents sans cette option pour prendre soin des enfants entre les deux années scolaires.
Une citoyenne a d'ailleurs porté ses doléances au conseil municipal.
Le maire d'Amos, Sébastien D'Astous, assure que la situation n'est pas laissée à la négligence et que les élus sont conscients de l'urgence de la chose :
«On a fait des pieds et des mains pour essayer d'augmenter le nombre de places. On avait un plan qu'on a dû revisiter pour un paquet de raison. Ça ne court pas aux portes pour avoir des étudiants (animateurs) présentement. Un peu comme toutes les autres organisations présentement, on a de la misère à avoir des travailleurs.»