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Aucun blessé après une alerte de femme armée en Nouvelle-Écosse

La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a lancé dimanche une alerte dans la Première Nation Sipekne'katik, dans le centre de la Nouvelle-Écosse.

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La GRC affirme que les mandats de perquisition exécutés jeudi sur des propriétés au sud-ouest de Québec prétendument liées à un groupe terroriste néonazi se sont déroulés sans incident. Le logo de la GRC est visible à l'extérieur du quartier général ... La GRC affirme que les mandats de perquisition exécutés jeudi sur des propriétés au sud-ouest de Québec prétendument liées à un groupe terroriste néonazi se sont déroulés sans incident. Le logo de la GRC est visible à l'extérieur du quartier général de la Division « E » de la Gendarmerie royale du Canada, à Surrey, en Colombie-Britannique, le vendredi 13 avril 2018. (Darryl Dick | La Presse canadienne)

La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a lancé dimanche une alerte dans la Première Nation Sipekne'katik, dans le centre de la Nouvelle-Écosse. Les résidents ont été mis en garde contre une femme dangereuse qui se déplaçait à pied avec une arme de poing dans la communauté.

L'alerte a été publiée à 19h10 heure locale avant d'être annulée peu avant 22h. La femme en question a finalement été rencontrée par la GRC plus tard. La police l'a laissée partir sans accusation.

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Les enquêteurs disent que l'incident a commencé à l'intérieur d'une maison de la communauté autochtone située à 66 kilomètres au nord d'Halifax.

Vers 22h, la GRC a indiqué que «personne n'a été blessé».

«Les agents ont fouillé la résidence et n'ont trouvé aucune preuve de la présence ou de la décharge d'une arme à feu», disait-on.