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Chantal Machabée, nouvellement nommée comme vice-présidente aux communications chez le Canadien de Montréal, estime qu’il s’agit d’un énorme privilège de pouvoir travailler pour le club et est consciente des défis qui l'attendent.
Voyez l'entrevue de Chantal Machabée dans le vidéo ci-dessus
L’ex-journaliste sportive a avoué avoir longuement réfléchi à l’offre de l’organisation avant de prendre sa décision. « Ç’a été une décision qui a été longuement murie. On a communiqué avec moi le 30 novembre et c’est lundi cette semaine que j’ai pris cette décision-là », a mentionné Machabée lors d’une entrevue au bulletin le Fil 22 h à Noovo Info.
« J’avais le goût de travailler avec Geoff Molson, avec France (Margaret Bélanger), Jeff Gorton, Dominique Ducharme et les joueurs [...] de travailler de l’autre côté de la business, ça va être une expérience assez unique », a renchéri la principale intéressée.
ARCHIVES | Revoyez comment tout a commencé pour Chantal Machabée à RDS
« Je n’avais jamais pensé un jour travailler pour le Canadien, mais quand la porte s’est ouverte, je ne pouvais pas refuser », a-t-elle ajouté.
Celle qui a œuvré pendant plus de 32 ans au Réseau des Sports (RDS) a reconnu avoir passé une journée riche en émotions. « Ç’a été difficile de quitter RDS, il y a eu beaucoup de larmes aujourd'hui », mais de faire le saut chez le CH sera une « expérience extraordinaire ».
En plus de traverser une saison des plus pénibles, l’organisation du Canadien s’est souvent fait reprocher son opacité. La nouvelle vice-présidente estime toutefois qu’elle pourra changer les choses. « J’ai beaucoup dialogué avec la direction du Canadien à ce propos-là et ils sont très clairs à ce sujet, ils veulent changer cette mentalité-là », a énoncé Chantal Machabée. « On est prêt à changer et j’ai plein d’idées pour améliorer la situation ».
Questionnée à savoir quelle relation elle entretiendra désormais avec les journalistes, la nouvelle associée du CH s’est montrée sure de pouvoir bien effectuer ses fonctions. « Ça ne sera pas inconfortable du tout », s’est esclaffée la nouvelle vice-présidente. « Le but ce n’est pas de refuser [aux journalistes] des entrevues, c’est de leur permettre des entrevues », a conclu Machabée.