Anxiété, dépression, anorexie, etc.: le financement de 2,4 millions de dollars annoncé par Ottawa afin de s’occuper de la santé mentale des athlètes amateurs montre que la santé mentale dans le monde du sport devient de moins en moins un sujet tabou depuis la pandémie, estime Jean-Michel Pelletier.
En entrevue au bulletin Noovo Le Fil 17, le psychologue sportif croit qu’il y a toutefois énormément de travail à faire à ce sujet dans les années à venir.
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«On a besoin de financement pour éduquer les coachs, pour avoir une nouvelle culture, une nouvelle approche et une nouvelle façon qui est plus humaine et plus scientifique», a-t-il expliqué, lundi.
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