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«Gravir les échelons», «partir au bas de l’échelle», ce sont des termes des années 1950 qu’on essaie de faire fonctionner dans un monde hyper compétitif, où il faut livrer la marchandise.
On aime ça, l’ancienneté.
Ça fait partie d’à peu près toutes les sociétés démocratiques.
On le voit dans le domaine de la santé et de l’éducation et pour les fonctionnaires en général : les gens font leur temps.
Les récits d’employés partis au bas de l’échelle pour se retrouver au sommet après des années passées dans la même boîte sont légion.
Mais dans notre société, en 2023, gravir les échelons en fonction de l’ancienneté, est-ce que ça prévaut encore ? Avant, l’expérience l’emportait sur les compétences.
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Mais si tu as 18 ans et que tu es bon, tu es bon à 18 ans. Si tu as 35 ans et que tu n’es pas bon, tu n’es pas bon à 35 ans.
L’ancienneté me dérange ! «Gravir les échelons», «partir au bas de l’échelle», ce sont des termes des années 1950 qu’on essaie de faire fonctionner dans un monde hyper compétitif, où il faut livrer la marchandise.
Il faut changer complètement, mais nos gouvernements s’obstinent encore avec ça. C’est pour ça qu’on a de gros problèmes de gestion.
Mon point de vue sur la question.