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Grève pour le cellulaire en classe: un mauvais moyen de manifester?

Impossible de reprocher à des jeunes de vouloir s’exprimer sur des enjeux de société, mais...

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Grève pour le cellulaire en classe: il existe d’autres moyens de se faire entendre, dit Alain Rayes L’analyste politique de Noovo Info Alain Rayes revient sur le mouvement de grève pour dénoncer la décision du gouvernement du Québec de bannir les téléphones cellulaires des écoles.

Impossible de reprocher à des jeunes de vouloir s’exprimer sur des enjeux de société. Mais il existe d’autres façons de le faire qu’en manquant des cours, a laissé tomber l’analyste politique Alain Rayes.

Ce texte a été rédigé par l'équipe du pupitre numérique de Noovo Info.

Revenant sur le mouvement de grève prévu vendredi afin de dénoncer la décision du gouvernement du Québec de bannir les téléphones cellulaires des écoles, le collaborateur de Noovo Info a expliqué que le ministère de l’Éducation a pris les mesures nécessaires pour s’assurer que la situation ne dégénère pas.

Selon lui, les élèves auraient pu «manifester lors de l’heure du dîner et se rassembler» afin d’envoyer un message au gouvernement.

M. Rayes a également salué le message du ministre Bernard Drainville aux parents, alors que la majorité des parents sont en faveur de l’abolition du cellulaire à l’école.

«C’est la responsabilité des enfants d’être à l’école, d’apprendre et d’étudier», a-t-il conclu.

À voir dans la vidéo.

Alain Rayes

Alain Rayes

Chroniqueur