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Plusieurs contradictions ont été relevées par notre collaborateur Yves Boisvert dans la gestion de la pandémie par Québec au cours des dernières semaines.
De l’oubli d’inclure la promenade des chiens, Yves Boisvert dira qu’il a «ridiculisé le couvre-feu», permettant ainsi au reste du Canada, et même aux États-Unis, de se moquer du Québec et de sa mesure devenue le «symbole de l’excès».
Dans le dossier des garderies, là où Québec souhaitait voir accepter les enfants asymptomatiques qui avaient été en contact avec des cas confirmés de COVID-19, notre analyste dira qu’il s’agit d’une «contradiction par rapport à l’extrême rigueur» que le gouvernement essaie d’imposer.
Il parlera aussi des désaccords publiquement exprimés entre la Santé publique de Montréal et la Santé publique nationale. «Mylène Drouin a poliment souvent contredit ce qui émanait du bureau d’Horacio Arruda ou du bureau du premier ministre.» Il cite en exemple les fameux rassemblements des Fêtes, à 20 ou même 10 personnes, qui n’étaient pas une bonne idée aux yeux de la Santé publique montréalaise.
Voyez son analyse complète dans la vidéo ci-contre.