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La table est mise, à Québec, pour cette année électorale.
C’était la fin de la session parlementaire à Québec, et Meeker Guerrier a reçu notre collaborateur Yves Boisvert pour analyser les dernières semaines, mais aussi l’importante année électorale qui débute.
La pandémie aura duré près de deux ans, pendant laquelle, estime Yves Boisvert, l’opposition s’est retrouvée dans une situation «à peu près impossible», parce qu’il était difficile pour elle de s’opposer aux décisions prises par le gouvernement.
Yves Boisvert souligne toutefois que cette session qui s’achève fut la première pendant laquelle le gouvernement Legault a été sur la défensive. «La pandémie l’a rattrapé.»
«Donc, cette opposition qui était un peu timide, elle a commencé à se manifester en s’appuyant sur les enquêtes publiques qui commencent à révéler des manquements qu’on connaissait un peu sur la gestion de la pandémie, en particulier dans les CHSLD», d’analyser Yves Boisvert.
Dominique Anglade a fait une sortie à la fin de la session parlementaire. Crédit photo : Noovo Info.
Gabriel Nadeau-Dubois, selon lui, voudra se présenter comme «la vraie solution de rechange» au gouvernement caquiste. Le PLQ et le PQ sont deux deux «en difficulté», alors que leurs chefs sont tous deux arrivés pendant la pandémie «et qui n’arrivent pas à s’affirmer», de commenter Yves Boisvert. Il ajoute que pour Dominique Anglade et les Libéraux, la reconstruction sera «difficile».
Pour la prochaine année, Yves Boisvert mentionne que le gouvernement Legault devra éviter le «piège de l’arrogance».